Mazazo del Supremo a los arrendadores de inmuebles vacíos. Ha decidido que los contribuyentes con inmuebles que han estado sin alquilar por no encontrar un inquilino no pueden deducirse los gastos que generan en la declaración de la Renta 2020. Este tema cobra más fuerza en plena pandemia, un momento en que ha aumentado la oferta de propiedades en alquiler y el número de pisos turísticos vacíos.

Recordamos que la ley del IRPF permite en su artículo 23 la deducción de algunos gastos relacionados con el alquiler de inmuebles, ya sean viviendas, locales u oficinas, cuando tributan como rendimiento del capital inmobiliario en la declaración de la Renta 2020. Pero ¿qué pasa con los inmuebles que están puestos en alquiler y no logran un inquilino? Es la cuestión que acaba de resolver el Supremo.
El Alto Tribunal se alinea esta vez con Hacienda al considerar que deben imputar las rentas, es decir, deben tributar por el 1,1 o 2% de su valor catastral en la declaración de IRPF (en base al art. 85 de la Ley del IRPF). “El legislador entiende que todo inmueble, que no sea la vivienda habitual, es susceptible de generar una renta o un ingreso, de modo que grava en el IRPF, con un mínimo equivalente al 2% o 1,1% del valor catastral según los casos, la mera posibilidad de obtener esa renta”, señala el Supremo. Por todo ello, considera que” las rentas procedentes de bienes inmuebles, que no se encuentran arrendados ni subarrendados, pero que están destinados a serlo, tributan como rentas imputadas”.
“Estamos ante una sentencia muy perjudicial para los arrendadores de inmuebles, ya que les impide deducir los gastos que, sí o sí, tienen que soportar para tener el inmueble listo para ser alquilado”, subraya José María Salcedo, socio del despacho Ático Jurídico. Y no solo eso, sino que además, les obliga a imputar rentas inmobiliarias por dichos inmuebles vacíos, a pesar de que, precisamente, por encontrarse en alquiler, no están a disposición del uso particular de sus propietarios, añade el experto.
Al piso de alquiler turístico se le imputarán rentas en el IRPF, aunque haya estado vacío
Esta sentencia del Supremo afecta en especial a los dueños de pisos turístico que con motivo del covid-19 han visto sus inmuebles vacíos. De este modo, se pone en el lado de la balanza de Hacienda que establece que, aunque la vivienda haya estado desocupada, el propietario debe imputar la renta inmobiliaria que corresponda proporcionalmente a los días en que el inmueble no haya estado alquilado respecto al número total de días del año.
A esto se suma que estos propietarios tampoco podrán deducir los gastos que generen las viviendas, mientras han estado sin inquilino, pero en disposición de ser alquilados.
En definitiva, el Supremo considera que los arrendadores de inmuebles tampoco pueden deducirse los gastos que genera, como luz, agua, gas, IBI, seguros o los gastos de comunidad, mientras están vacíos y sin inquilino. Para el Alto Tribunal, la finalidad de tal deducción de gastos es minorar la carga impositiva del arrendador que percibe rentas de alquiler. Por tanto, “si no hay renta en el ejercicio o parte de él, no cabe deducir gastos imputables a ese período”.
El arrendador tampoco podrá deducirse los gastos de intereses de capitales ajenos previstos en el artículo 23.1.a) de la Ley del IRPF. En la sentencia recurrida y dictada por el Tribunal Superior de Justicia de la Comunidad Valenciana, el contribuyente solicitó deducirse los gastos de intereses de capitales ajenos para la rehabilitación de un local que no estuvo arrendado durante el ejercicio comprobado por la Administración. No obstante, recordamos que este gasto sí que es deducible si el inmueble está alquilado.
Los gastos de reparación y conservación del inmueble sí son deducibles
Aunque el Supremo no trata esta cuestión, José María Salcedo recuerda que la Dirección General de Tributos, en consulta V3146-18, había permitido la deducción de tales gastos de reparación y conservación efectuados en el inmueble antes de su arrendamiento, siempre que estén dirigidos, exclusivamente, y así se demuestre, a la futura obtención de rendimientos del capital inmobiliario, y no al disfrute, aunque sea temporal, del inmueble por su propietario.
🇫🇷 Mazazo del Supremo aux bailleurs de propriétés vides.
Mazazo del Supremo aux bailleurs de propriétés vides. Il a décidé que les contribuables dont les biens n’ont pas été loués faute de trouver un locataire ne peuvent pas déduire les dépenses qu’ils génèrent dans la déclaration de revenus 2020. Cette question prend plus de poids en pleine pandémie, à une époque où l’offre de biens pour le loyer et le nombre d’appartements touristiques vacants.
Nous rappelons que la loi de l’impôt sur le revenu des personnes physiques permet en son article 23 la déduction de certaines dépenses liées à la location de biens immobiliers, qu’il s’agisse de logements, de locaux ou de bureaux, lorsqu’elles sont imposées en retour du capital immobilier dans le compte de résultat 2020. Mais que se passe-t-il avec les propriétés mises en location et que vous ne trouvez pas de locataire? C’est la question que la Cour suprême vient de résoudre.
Cette fois-ci, la Haute Cour s’aligne sur le Trésor lorsqu’elle considère qu’elle doit imputer les revenus, c’est-à-dire qu’elle doit payer 1,1 ou 2% de sa valeur cadastrale dans la déclaration de revenus des personnes physiques (sur la base de l’article 85 de la loi de l’impôt sur le revenu des particuliers). «Le législateur comprend que tout bien immobilier, autre que la résidence habituelle, est susceptible de générer un revenu ou un revenu, de sorte qu’il est imposé sur l’impôt sur le revenu des personnes physiques, avec un minimum équivalent à 2% ou 1,1% de la valeur cadastrale selon la cas, la simple possibilité d’obtenir ces revenus », précise la Cour suprême. Pour toutes ces raisons, il considère que «les revenus de biens immobiliers, qui ne sont ni loués ni sous-loués, mais qui sont destinés à l’être, sont imposés en tant que revenus imputés».
«Nous sommes confrontés à une condamnation très dommageable pour les propriétaires de biens immobiliers, car elle les empêche de déduire les dépenses qu’ils doivent, oui ou oui, supporter pour que le bien soit prêt à être loué», souligne José María Salcedo, partenaire de la Cabinet d’avocats Ático Jurídico. Et non seulement cela, mais cela les oblige également à imputer des revenus immobiliers pour lesdits biens vides, alors même que, justement, parce qu’ils sont à louer, ils ne sont pas disponibles pour l’usage privé de leurs propriétaires, ajoute l’expert.
L’appartement de location touristique sera facturé sur le revenu en impôt sur le revenu des personnes physiques, même s’il a été vide
Cet arrêt de la Cour suprême touche surtout les propriétaires d’appartements touristiques qui, en raison du covid-19, ont vu leurs propriétés vides. De cette manière, il est mis du côté du solde du Trésor qui établit que, bien que la maison ait été inoccupée, le propriétaire doit imputer le revenu immobilier qui correspond proportionnellement aux jours où le bien n’a pas été loué avec par rapport au nombre total de jours de l’année.
A cela s’ajoute que ces propriétaires ne pourront pas déduire les dépenses générées par les maisons, alors qu’ils étaient sans locataire, mais prêts à être loués.
En bref, la Cour suprême considère que les propriétaires de biens immobiliers ne peuvent pas déduire les dépenses générées, telles que l’électricité, l’eau, le gaz, l’IBI, les assurances ou les dépenses communautaires, tant qu’ils sont vides et sans locataire. Pour la Haute Cour, le but de cette déduction des dépenses est de réduire la charge fiscale du propriétaire qui perçoit des revenus locatifs. Par conséquent, «s’il n’y a aucun revenu dans l’année ou une partie de celle-ci, il n’est pas possible de déduire les dépenses attribuables à cette période».
Le bailleur ne pourra pas déduire les frais d’intérêts des capitaux étrangers prévus à l’article 23.1.a) de la loi relative à l’impôt sur le revenu des personnes physiques. Dans le jugement attaqué et rendu par la Cour supérieure de justice de la Communauté valencienne, le contribuable a demandé la déduction des frais d’intérêts de capitaux étrangers pour la réhabilitation d’un local non loué au cours de l’exercice vérifié par l’administration. Cependant, nous rappelons que cette dépense est déductible si le bien est loué.
Les frais de réparation et de conservation du bien sont déductibles
Bien que la Cour suprême n’aborde pas cette question, José María Salcedo rappelle que la Direction générale des impôts, en consultation V3146-18, avait autorisé la déduction de ces frais de réparation et de conservation effectués dans le bien avant son bail, à condition qu’ils soient dirigés , exclusivement, et ainsi démontrée, à l’obtention future de revenus du capital immobilier, et non à la jouissance, même temporaire, du bien par son propriétaire.
Artículo de idealista.com